Jean-Michel BILLAUT.
Si sa notoriété est immense auprès des professionnels de l’Internet (ils l’appellent d’ailleurs le « Gourou de l’Internet »), Madame MICHU (comme il dit communément) ne le connaît pas.
Il est pourtant l’inspirateur (au même titre que des Bill GATES ou Al GORE) de ce monde plat, ultra-numérisé qui s’impose à nous aujourd’hui.
Par exemple, savez-vous qui a inventé le crédit et la banque en ligne ?
C’est lui. Dès les années 80, en ayant l’ingénieuse idée d’utiliser le Minitel puis, dès les années 90, l’internet.
L’homme est en effet un grand visionnaire.
J’ai pu personnellement le constater en travaillant avec lui au sein de L’ATELIER (le vrai ! Celui d’autrefois), la cellule de veille technologique de la COMPAGNIE BANCAIRE puis de PARIBAS, deux sociétés fortement créatrices de richesse où l’on n’avait pas peur de prendre des risques et dont j’ai eu l’honneur et le grand bonheur d’être le salarié pendant 5 ans.
Autres créations lumineuses de Jean-Michel BILLAUT : KLELINE (système de paiement en ligne créé au milieu des années 90 et largement en avance sur concurrent, aujourd’hui bien connu, PAYPAL) et BUSINESS VILLAGE (le pionnier du Web communautaire professionnel), deux entreprises malheureusement éliminées par « les destructeurs de richesse » de la BNP à l’esprit « petit patron » (l’un des grands maux de notre pays).
Aujourd’hui, Jean-Michel BILLAUT ne s’est pas arrêté à l’internet (notamment le très haut débit pour lequel il se bat depuis de nombreuses années (il a d'ailleurs été à l'origine d'une première mondiale en initiant, il y a plus de cinq ans déjà, le premier réseau du genre, à Pau, dans le sud-ouest de la France)).
Nanotechnologies, robots et autres découvertes, qui deviendront dans un futur plus ou moins proche notre quotidien, lui sont d’ores et déjà familiers.
Si vous désirez connaître notre futur dans 5, 10 ou 15 ans, allez sur le blog de Jean-Michel BILLAUT accessible à l’adresse http://billaut.typepad.com (il remplace avantageusement à lui tout seul l’Atelier de la BNP qui n’est plus que l’ombre de celui de PARIBAS).