Nathalie JCDECAUX-MORIZET est l'incarnation du MAL FRANCAIS tel que l'avait décrit à merveille dans son livre éponyme le grand Alain PEYREFITTE.
Elle est un haut-fonctionnaire (X), pur produit d'une caste de hauts-fonctionnaires (voir ses ascendants) accoquinée avec l'oligarchie franchouillarde qui au passage bride la concurrence et donc le dynamisme économique du pays.
Si son frère Pierre est le produit économique (PRICEMINISTER) de l'entente des familles MORIZET et JCDECAUX, Nathalie en est le produit politique, notamment grâce aux liens existants entre SARKO et JCDECAUX.
ANNE LA SIMPLETTE a su unir son camp, comme DELANOE avant en 2001. C'est comme ça qu'on gagne. SARKO l’a formidablement démontré aux présidentielles de 2007 d’ailleurs.
En revanche, Nathalie JCDECAUX-MORIZET est arrivée avec un tout autre état d'esprit. De son propre aveu, il fallait qu'elle s'impose en étant une "tueuse". Or, si la politique peut s'apparenter à un match de boxe, ce n'est pas (ou plus ? lol) une arène romaine où le grand chef a le droit de mort ou de vie politique sur telle ou telle personne. Il faudrait qu'on comprenne enfin dans ce pays que « la Cour à Versailles », c'est fini !
« La Cour à Versailles », c’est d’autant plus fini que les Français aspirent à une vraie vie démocratique, notamment dans les partis politiques mais aussi dans l’espace politique plus large (avec par exemple la possibilité de s’exprimer régulièrement par référendum), tel que cela existe depuis longtemps dans les pays du nord de l'Europe et aux Etats-Unis.
Les primaires organisées à Paris étaient en fait une caricature de démocratie moderne (peu de débats et un fort soupçon de magouille avec l'utilisation possible de plusieurs cartes de crédit permettant de voter plusieurs fois en ligne).
Nathalie JCDECAUX-MORIZET n'a pas vraiment organisé de débats dans les arrondissements, les quartiers pour choisir les têtes de liste locales et les idées qu’ils allaient défendre en priorité. C'est probablement là ça plus grosse erreur. Ce qui lui vaut aujourd’hui une liste alternative à droite avec Charles BEIGBEDER et Serge FEDERBUSCH et son programme boboïsant ni fait ni à faire qu’elle avait sorti avant la fin de l’année et qui lui colle toujours aux basques.
Au contraire, au lieu d'instiller le débat et peut-être pourquoi pas d'avoir mis en place des primaires locales, elle a préféré faire de la Com’ et se montrer les cheveux au vent sur les marchés, laissant dans l'ignorance, l'attente et au final sur leur fin les militants et sympathisants qui souhaitaient enfin un vrai débat basé sur les problèmes et désirs concrets des parisiens.
Nathalie JCDECAUX-MORIZET a tout simplement fait une profonde erreur de management. Et cette erreur est due à sa culture, ses atavismes familiaux. Chez ces gens-là, on commande, on impose, on ne discute pas, Monsieur ! Comme aurait pu le chanter Jacques BREL ...
#TOUTSAUFNKM