Ghislaine OTTENHEIMER, Editorial sur l'Affaire STRAUSS-KHAN au FMI, Challenges, n° 141, 23 octobre 2008, p. 7
Commentaires : Le tout Paris médiatico-politique savait depuis longtemps que le patron du FMI aimait les femmes et l'argent. Cela concernait sa vie privée et n'avait donc pas à être étalé au grand jour dans la presse.
Mais aujourd'hui, si DSK a été blâmé par le conseil d'administration du FMI, c'est parce qu'il a enfreint le code déontologique de l'organisation qui interdit explicitement toute relation autre que professionnelle entre son Directeur et ses subordonnés.
Une mesure saine, loin des pudibonderies classiques de l'Amérique blanche et protestante comme certains l'ont affirmé un peu vite, mais au contraire permettant d'éviter les écueiils que peut produire ce genre de relation.
Un bon exemple donc pour les Français mais difficilement applicable tant la France compte une proportion importante de pervers narcissiques avec un besoin jamais rassasié de domination.
Eh oui, une nouvelle fois encore, LA RUPTURE DOIT ETRE AVANT TOUT PSYCHOLOGIQUE !